Écrire pour la Saint-Valentin

Ahhhh, pour la Saint-Valentin, vous aimeriez écrire quelque chose à votre bien-aimé(e). Mais voilà, l’écriture, ça n’est pas votre truc, comme je l’entends dire assez souvent.

Même pas mal !

De l’émotion !

Bien sûr, vous trouverez des tas d’exemples sur le net, mais ce qui compte d’abord, c’est l’émotion.

Et qu’est-ce qui déclenche l’émotion ? La sincérité, l’authenticité !

Interrogez-vous donc d’abord quant à ce que vous ressentez pour votre poussin, votre bébé, votre bibiche, votre loulou, votre pupuce ou n’importe quel hypocoristique.

Avant de vous demander comment écrire, demandez-vous quoi écrire ?

C’est le plus important.

Vous pensez à lui/elle quand il/elle n’est pas là, mais comment ?

Est-ce fort, doux, intense, frais, parfumé, érotique, extrême, violent, caressant, amoureux, polisson, sensuel, voluptueux, fou, enflammé, passionné, admiratif, chaud, désirant, ivre, maladif, tendre ou autre chose encore ?

La réponse est au fond de vous, quelque part, là-bas…

Pas de phrases

Si vous pensez ne pas savoir faire de phrases, n’en faites pas. Ou plutôt, écrivez des phrases sans verbe ou simplement des mots. Juste des émotions à l’état brut…

Amour intense…

Rêves parfumés…

Papillons dans le ventre…

Désir…

Ivresse de toi…

Tendresse…

Passion sans fin…

Baiser sensuel…

Rêves érotiques…

Etc.

Deux mots peuvent suffire. Voire un seul.

Vous pouvez même écrire tous ces mots sur de petits bouts de papier (en couleur ?) que vous plierez en quatre – ce que vous êtes en train de faire, mine de rien. Et vous les lui ferez tirer au hasard, pourquoi pas ?

Je t’aime parce que…

Autre idée, si vous vous sentez. Vous pouvez juste écrire les raisons pour lesquelles vous aimez :

Je t’aime parce que… : (à vous de jouer)

Quand tu marches, on dirait une fleur qui ondule sous la caresse du vent,

Tu sens bon,

Quand on aime, on trouve beau. Et tu es beau/belle !

Tu es intelligent(e),

Tu me rassures,

En fait, je ne sais pas, c’est juste impossible de faire autrement.

Etc.

Pas besoin d’attendre votre entrée à l’Académie française pour prendre la plume ou le clavier.

Je vous le redis, ce qui compte, c’est l’émotion.