Écrivain public, nègre littéraire, plume, pour quoi faire ?

Vous connaissez peut-être quelqu’un dans votre entourage – un de vos parents, une grand-mère, un proche… – qui se trouve dans un de ces cas de figure :

• il ou elle a vécu une vie riche d’événements,
• il ou elle refuse de parler d’une époque de sa vie,
• il ou elle ressasse sans cesse – belle allitération – un épisode de sa vie.

Dans tous les cas, vous pensez que l’écriture serait une bénédiction.

---

Mal à l’aise…

Dans le premier cas, celui d’une vie riche en événements, vous êtes désireux de voir gravé dans le marbre le récit de votre ascendant. Vous souhaitez préserver la mémoire d’une partie de l’histoire de votre famille. Que vous pourrez transmettre à vos enfants et sans doute au-delà.

Dans les 2^e et 3^e cas – c’est le même phénomène qui est à l’œuvre – l’entourage est parfois mal à l’aise. « Mais pourquoi papi refuse-t-il de nous parler de cette période de sa vie ? ». Ou alors « Elle est encore en train de ressasser cette vieille histoire ! ». Dans ces 2 cas, on traîne avec soi quelque chose d’un passé douloureux qui reste donc présent et par conséquent toujours douloureux.

Là encore, l’écriture est salutaire. Elle permet par la parole, écrite, de reconsidérer les événements passés afin de les laisser à leur place, c’est-à-dire dans le passé, justement.

---

Une écoute active

Je me suis fait une spécialité de l’écoute active, c’est-à-dire à même de déclencher un travail de reconsidération. Ces histoires de vie des gens, en leur tenant la plume, je les écris pour eux. Je deviens nègre, écrivain public. Le récitant s’embarque alors dans une exaltante et apaisante nouvelle aventure.

Il arrive que des enfants ou l’entourage offrent à leur proche la possibilité d’écrire son récit de vie par mon entremise. C’est un magnifique cadeau, une autobiographie, un récit-livre, particulièrement émouvant, offert à la personne, à la famille, à la descendance.

Contactez-moi, c’est gratuit et sans engagement.