Premier roman, mode d’emploi.

Beaucoup de romans sont écrits chaque année. On dirait que les auteurs en herbe sont de plus en plus nombreux. Alors que les lecteurs… On peut se demander… Comme s’il y avait de plus en plus de gens pour écrire des livres et de moins en moins de gens pour les lire.

Et puis avec les moyens d’aujourd’hui, la publication est à la portée de quasiment n’importe qui.

Mais les comités de rédactions des « grandes » maisons d’édition rejettent la presque totalité des manuscrits qui leur parviennent.

Pourquoi ?

Peut-être ces comités détectent-ils les écrits « qui ne vont pas marcher »… En tout cas ils s’y emploient.

Alors, regardons-y d’un peu plus près.

Se poser les bonnes questions

Avant de parler de la qualité d’un texte, il faut d’abord se demander pourquoi « il fonctionne ». Certains textes de qualité médiocre peuvent faire des succès et d’autres textes très bien écrits, être rejetés.

C’est que si on se précipite sur son clavier pour écrire l’histoire magnifique qu’on a dans la tête, on commet souvent de graves erreurs :

Je ne saurais que trop conseiller de vous précipiter sur le livre de Laure Pécher : « Premier roman, mode d’emploi » aux éditions ZOE. Laure Pécher, d’abord éditrice puis agent littéraire « fouille les entrailles du roman pour en comprendre l’architecture et les mécanismes ». Elle invite à un travail de réflexion préalable à l’écriture et pose justement les très bonnes questions essentielles : quoi, quelle histoire, quel est l’objet et quel est le sujet de votre livre ? Êtes-vous capable de répondre à quelques questions simples : qu’avez-vous voulu raconter ? Qu’avez-vous raconté ? Pourquoi voulez-vous écrire cette histoire ? Pouvez-vous pitcher votre roman en une phrase simple ? C’est l’histoire de………. qui………..

Un livre indispensable à tout auteur qui débute.

Bonne lecture.