J'écris, tu écris, il ou elle écrit...

À vous, auteur-e-s, qui souhaitez une relecture

Ça y est, votre ouvrage est terminé ! Enfin, disons que le tapuscrit contient le nombre de pages définitif, mais l’écrit, lui, a peut-être besoin d’un œil  extérieur, d’une relecture, d’une ou deux corrections, de quelques remarques çà et là.

Il m’arrive de voir des écrits particulièrement soignés et d’autres écrits, comment dire… moins aboutis, qui appellent un gros travail de réécriture.

J’ai entendu le meilleur et le pire en matière de correction. Certains auteurs sont enchantés de leur correcteur, d’autres déçus par une mauvaise expérience. Aussi, je vous offre la correction des quelques premières pages ou du premier chapitre de votre ouvrage. Vous pourrez donc juger de la qualité de mon travail sur un échantillon avant engagement.

Des écrits plus ou moins aboutis

J’ai réalisé une enquête auprès d’auteur-e-s, sur des groupes Facebook notamment, ou par mail, afin de comprendre leur problématique quant à la relecture et à son coût.

Je vous invite à lire mes petits articles « Pourquoi je suis correcteur » et « Pourquoi vous adresser à moi » afin de faire un peu connaissance et de vous rassurer quant à mon éthique et mes capacités.

Puis nous pourrons échanger, voire nous rencontrer, qui sait ?

Examen de l’ouvrage

Il faudra alors me confier votre ouvrage, tout ou partie, afin que je puisse estimer la quantité de travail nécessaire. Je vous le disais au début, deux ouvrages de 100.000 mots n’appelleront pas la même approche, la même relecture, les mêmes types de correction.

Ce n’est qu’ensuite, et après ma correction offerte de vos premières pages, que je pourrai vous proposer un prix et que nous nous entendrons.

Je commence toujours par la ponctuation et les espaces (fines, insécables, etc.) et je ne vous les soumets pas. En effet, ces corrections sont nécessaires, n’appellent pas votre approbation et surchargeraient inutilement les remarques qui, elles, sont soumises à votre approbation. Puis je corrige l’orthographe, la grammaire, les impropriétés, etc.

Pendant cette phase, je lis votre ouvrage sans m’attacher au sens. Toute mon attention est concentrée sur la traque d’éventuelles erreurs ou imperfections. Il m’est impossible de lire un ouvrage comme un lecteur s’il contient des erreurs.

Je corrige, tu publies, il ou elle lit

Je peux ensuite procéder à ladite lecture et m’attacher au contenu. Tel mot ne serait-il pas plus approprié, tel verbe plus incisif, telle tournure plus évocatrice ? Si c’est un aspect du travail que vous m’avez demandé, bien sûr.

Contactez-moi. Vous ne serez engagé-e en rien. Un bel échange c’est déjà un cadeau de la vie. Et puis si nous décidons de parcourir un bout de chemin ensemble, je sais que je serai heureux de vous avoir croisé-e.


Quelques temps après mon rendu, je vous demanderai de bien vouloir remplir un rapide questionnaire de satisfaction.

La première image, « p173 » est celle d’une page de « Histoires d’en parler » de Wanda Setti-Morin aux éditions St Honoré. Magnifique histoire, très bien écrite. J’ai découvert cette auteure et ce livre au dernier salon du livre d’Hermillon.

La deuxième image est un petit texte inspiré de différents écrits qu’il m’est arrivé de relire. Gros travaux de corrections et de reprises.

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