Si j’aurais su…
L’automne, la grisaille, la Covid, les élections américaines, l’actualité – que je ne détaille pas – , tout ça… Pffffff !
Alors j’ai décidé qu’aujourd’hui je rigolerai, quoi qu’il arrive ! Car quoi (carquois ?) qu’il arrive, que je rie (oui, un « e » parce que c’est le subjonctif) ou que je me lamente (j’aime la menthe ?), ça ne changera rien au monde. J’ai donc choisi de ne pas me l’âme en thé.
Après tout, ne sont-ce pas (si ! c’est correct…) les moments tristes qui permettent d’apprécier le bonheur ?
Et pour rigoler, j’ai décidé de me moquer un peu de l’orthographe.
Alors j’ai ressorti un vieux truc que j’avais mis de côté pour un jour triste comme celui-ci. C’est une page d’un livre (épuisé, comme beaucoup d’entre nous) qui s’appelle « Le Petit Livre à offrir à sa maîtresse d’école ».
C’est plein de fraîcheur, plein de sérieux comme des enfants qui jouent et qui réinventent le monde à leur manière, plein de dérision.
Je sais pas vous, mais moi, quand je me retourne vers mon enfance – oui, ça m’arrive de régresser et c’est bon, mais je m’arrête avant l’énurésie… – je me sens redevenir tendre, optimiste et joyeux.
Je vous invite à essayer en vous présentant cette page qui m’a reboosté pour la journée.
Antoine de Saint-Exupéry avait écrit dans le Petit Prince : « Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais peu d’entre elles s’en souviennent ».
Bonne semaine.